Le Galaxy S25+ affiche des scores impressionnants en benchmarks et pourrait marquer le grand retour des processeurs Exynos.
Les performances du Galaxy S25+ continuent de surprendre. Découvrez pourquoi ce smartphone pourrait bien révolutionner le marché !
des performances impressionnantes en test
Le Galaxy S25+, identifié sous le code modèle SM-S936B, a récemment été testé sur une célèbre plateforme de benchmarks, révélant des scores impressionnants. En single-core, il a obtenu un score de 2 358 points, tandis qu’en multi-core, il atteint les 8 211 points. Ces résultats confirment des performances solides, particulièrement prometteuses pour un usage multitâche intensif.
Cette avancée place le Galaxy S25+ parmi les smartphones les plus puissants de sa génération, prêt à répondre aux besoins des utilisateurs les plus exigeants. L’intégration de la RAM de 12 Go et du système d’exploitation Android 15 garantit une expérience utilisateur fluide et performante.
le retour de l’exynos : une stratégie risquée ?
Un des points marquants de ce benchmark est l’utilisation d’un processeur Exynos 2500, développé en interne. Ce choix pourrait représenter un tournant pour la marque, qui explore un équilibre entre ses propres puces et les célèbres Snapdragon. L’objectif ? Assurer une performance optimisée et une meilleure efficacité énergétique.
Cependant, des rumeurs indiquent que le modèle pourrait également se décliner en version Snapdragon, une option prisée pour ses performances constantes. Le choix entre Exynos et Snapdragon suscite beaucoup d’interrogations parmi les fans.
quelles implications pour le futur des smartphones ?
Le Galaxy S25+ pourrait représenter une évolution significative dans la stratégie technologique de son constructeur. L’objectif serait de mieux rivaliser avec les autres géants du marché. Mais ce changement soulève aussi des questions : quel sera l’impact sur la disponibilité globale ? Y aura-t-il des différences de performance entre les versions ?
Avec cette mise en avant des processeurs maison, la marque pourrait chercher à réduire sa dépendance aux fournisseurs externes et à renforcer son écosystème interne.